La compréhension en maternelle


La compréhension en maternelle       L’album

https://www.ecoledesloisirs.fr/livre/je-mhabille-je-te-croque

Le moins cher disponible sur : Momox

Le vocabulaire choisi

Les noms Les verbes Les adjectifs 
 Culotte – blouson – pantalon – bottes – chaussette – chemise- pyjama   Mettre – s’endormir  Rouge – Jaune _BleuNoir 

Les cartes pour travailler le vocabulaire

Télécharger « cartes_mots_je m_habille…..pdf »

rituel du matin: redire tous les mots à haute voix  avec le support de l’image.

Les mots seront réinvestis dans la séquence de compréhension, lorsque les élèves raconteront l’histoire. C’est un moyen des les rencontrer plusieurs fois et de les stocker en mémoire.

Travailler la compréhension:

Pour rédiger les séquences que je propose, je me suis appuyée sur les apports didactiques de Pierre Péroz, de Patrick Joole et de Sylvie Cèbe. Le dispositif OIE (Oral – Image – Ecrit) me parait également intéressant. 

Tous ces apports permettent de proposer une progression de la Petite Section à la Grande Section en apportant une graduation dans la difficulté mais également en adaptant son enseignement aux élèves à besoins éducatifs particuliers. 

Pour les élèves de PS et ayant des difficultés langagières : prendre appui sur OIE et Patrick Joole.

Pour les élèves de MS et GS s’appuyer sur les démarches de Pierre Péroz et Sylvie Cèbe.

La séquence:

Télécharger « SEQUENCE COMPREHENSION_PS.pdf »

LA DEMARCHE DE PATRICK JOOLE

Vous pouvez télécharger ci-dessous:

 —      Un document que j’ai rédigé et qui précise la démarche de Patrick Joole.

Télécharger « démarche_joole.pdf »

—       Un exemple de séquence à partir de l’album La petite mauvaise humeur , d’Isabelle Carrier.

Cette séquence s’adresse aux élèves de Moyennes Section  voire de Grande Section ayant des difficultés de compréhension. 

Télécharger « séquence_joole.pdf »

—      Les cartes qui vous permettront de travailler le vocabulaire en créant des rituels ou des jeux permettant de prononcer et voir les mots plusieurs fois et facilitant le stockage en mémoire. 

Télécharger « cartes_mots_la_petite_mauvaise_humeur.pdf »

Je partage également le lien vers le blog de l’académie de Lille qui propose l’ensemble des travaux de Patrick Joole. Vous pourrez ainsi approfondir la démarche si elle vous intéresse et trouver des outils qui vous accompagneront dans sa mise en œuvre dans votre classe. 

— L’ouvrage Scènes de langage, PS et MS aux éditions Accès adapte la démarche de Patrick JOOLE pour travailler à partir d’albums adaptés aux élèves.

La compréhension en maternelle

Il propose 11 séquences d’apprentissages.  Les situations proposées permettent: 

–          d’investir les coins jeux de la classe, la salle de motricité  et de développer les jeux de faire semblant  

–          de travailler la compréhension des histoires racontées et lues par l’enseignant. Les albums support d’apprentissages sont proche du  vécu de l’enfant (Petit ours brun joue à la dinette / L’âne Trotro fait sa toilette)  ou des situations vécues en classe et partagées dans les coins jeux.  

–          De s’appuyer sur des comptines et sur le plaisir de mémoriser et de répéter des mots. 

Le plus de cet ouvrage s’est qu’il propose de nombreux échanges langagiers  qui vont permettre de manipuler le lexique et les structures syntaxiques tant en réception qu’en production. Comme les mots sont utilisés fréquemment et dans différentes situations ils seront d’autant mieux mémorisés. Langage qui prend tout son sens car il s’ancre dans des situations vécues dans la vie quotidienne des enfants ou dans la vie de l’école  et dans des situations de communication 

  • Exemple de séquence  p.44  à partir de l’histoire Trotro va à l’école 

C’est une histoire proche du vécu de l’enfant donc dans son univers de référence. 

Etape1 : créer un univers de référence

Le maître va raconter l’histoire, en utilisant la marionnette de Trotro et le matériel nécessaire : un réveil, des habits, un bol, des céréales, un cartable 

Le scénario est joué par l’enseignant tous les jours pendant une semaine :  Le réveil sonne, Trotro se réveille, il prend son petit déjeuner, Trotro se lave et s’habille. Puis il part à l’école 

Etape2 : s’approprier le scénario en jouant au coin poupée.

Les enfants  doivent aider Trotro et les poupées à se préparer pour partir à l’école. 

But que les enfants s’approprient le scénario, le verbalise et vive la situation à travers la poupée

Etape 3 : raconter une histoire proche de son vécu.

Découverte de l’album. Description des images. L’enseignant lit le texte. Pendant la lecture du texte les enfants miment le scénario

Etapes 4 : comprendre et raconter des histoires plus complexes 

Pendant la semaine suivante, l’enseignant va raconter plusieurs histoires sur le thème de la rentrée ou de l’école et en présentant les illustrations. 

La semaine qui suit, par petits groupes, les élèves racontent l’histoire de leur choix. 

LA DEMARCHE OIE

—   Voici un document qui  décrit la démarche OIE.

Je prends appui sur le travail réalisé par le groupe départemental maternelle du 95.

Télécharger « démarche_OIE.pdf »

—   Je partage également le lien vers le site de l’académie du 71 qui propose des ressources pour travailler le dispositif O.I.E. à partir d’albums de Petit Ours Brun.

https://mat71.cir.ac-dijon.fr/2019/04/02/ressources-pour-le-presentiel-dispositif-o-i-e/

LA DEMARCHE DE PIERRE PEROZ

Aujourd’hui je prends un peu de temps pour compléter mon article et vous présenter la démarche de Pierre Péroz. Il propose une nouvelle façon d’animer les séances de langage en maternelle, basée sur une pédagogie de l’écoute.

En voici les grandes lignes : 

1Pendant la séance, adopter un dialogue pédagogique à évaluation différée = on repousse le moment où l’enseignant intervient dans la discussion.

L’enseignant interroge tous les élèves qui lèvent le doigt sans intervenir entre chaque réponse. Tout le monde peut prendre la parole, l’enseignant accepte les redites et les répétitions.

Du coup, le schéma du moment de langage n’est pas “Question de la maitresse – réponse d’un élève – question de la maitresse – réponse d’un élève etc.”, mais devient :

” – Question de la maitresse

– réponse de l’élève A

– réponse de l’élève B

– réponse de l’élève C

– réponse de l’élève D

– Question de la maitresse

– réponse de l’élève A etc…”

L’enseignant s’interdit les “conversations privées” qui sont des suites de question / 1 seule réponse du même élève.

2. Lire des textes sans image 

Ils permettent des échanges beaucoup plus riches et une bien meilleure mémorisation du texte (la vue des images s’imprime et prend le pas sur ce que dit le texte).

Les textes sans image permettent un langage d’évocation, au passé alors que l’image renvoie au présent et au langage de situation.

 3. Garder toujours le même format de séance.

Pierre Péroz conseille une pédagogie explicite, où l’enseignant annonce ce qu’il va faire. Les élèves n’ont pas de surprise, ils savent ce qu’ils font et pourquoi ils le font.

— Un article explicitant le choix des supports privilégiés par Pierre Péroz.

Télécharger « Les supports Pierre Péroz.pdf »

— Ci-dessous je vous présente une aide proposée par Mireille BRIGAUDIOT afin de choisir les albums de façon pertinente.

Dans APPRENTISSAGES PROGRESSIFS DE L’ECRIT A L’ECOLE MATERNELLE (Hachette éducation) Mireille BRIGAUDIOT nous donne des pistes pour choisir un support texte et penser la compréhension avant la lecture.

– critères personnages / aventure : les personnages doivent être facilement repérés par les enfants et plus les enfants sont jeunes moins il faut de péripéties pour aboutir à la résolution du problème. 

 – un univers de référence accessible aux enfants : il faut que celui qui est présenté dans le texte soit un monde connu, c’est un élément primordial pour choisir un album. Véronique Boiron partage cet avis et Patrick Joole également.

– Permettre aux élèves d’accéder aux états mentaux des personnages : leurs pensées, leurs sentiments.

 – la dimension linguistique du texte : les textes doivent être en langage écrit. Le rôle de l’école maternelle est d’aider les enfants à comprendre ce langage et ses spécificités. Les enfants doivent parvenir à suivre le thème, à repérer les marqueurs logico temporels et l’enchainement sémantique pour dégager l’essentiel du propos.

– les relations sémantiques et sa longueur : indication sur le nombre de pages par niveau afin de faciliter l’attention : niveau 1 : 6-8pages/niveau 2 : 8-10 pages -1niveau 3 : 10-12 pages/niveau 4 : 12-16pages

— Voici la liste d’albums proposée par Mme Brigaudiot, Maitre de conférences en sciences du langage:

Télécharger « Liste d’albums Mireille Brigaudiot.docx »

— Je décris dans le document ci-dessous, le format d’une séance type respectant la pédagogie de l’écoute de Pierre Péroz ainsi qu’une série de questions à destination de l’enseignant.e

Télécharger « Le format de séance.pdf »

— La pédagogie de l’écoute c’est également s’appuyer sur le gain de jetons. Chaque fois qu’un élève prend la parole , il gagne un jeton.  Ce fonctionnement permet à l’enfant de s’impliquer pleinement dans son évaluation. Il peut tenir une “fiche mémoire” (le nombre en tant que mémoire) en écrivant la date de la séance et le nombre de jetons gagnés.  D’une séance à l’autre il peut ainsi repérer ses progrès. Cette méthode permet également d’envisager la progression par rapport à son propre parcours et non par rapport aux autres élèves. 

 Télécharger « Le système des jetons +.pdf »

Cependant, en menant des séances dans certaines classes, j’ai pu constater que certains enfants sont encore dans “je veux gagner et avoir plus de jetons que les autres”. Alors il arrive qu’ils détournent le droit de répéter ce qu’à dit un camarade pour gagner des jetons supplémentaires mais ne pas apporter de plus value à la séance. J’ai donc proposer une nouvelle méthode : je pars avec un quota de 10 jetons et je perds un jeton chaque fois que je prends la parole pour présenter une nouvelle idée. Dans cette configuration, difficile pour eux de savoir qui parle le plus ou le moins. Ils restent concentrés sur les interventions et en général, lorsqu’un enfant répète un propos qui a déjà été verbalisé par un camarade, il ne le répète jamais à l’identique: soit la syntaxe est enrichie, soit une idée est ajoutée. 

LA DEMARCHE DE SYLVIE CEBE

Sylvie CEBE propose 4 tâches complémentaires pour travailler la compréhension

I. Tâches de découverte : aider les élèves à comprendre

II. Tâches de transposition : approfondir et exercer la compréhension

III. Tâches de transfert : réinvestir les habiletés exercées (et évaluer la compréhension)

IV. Tâches décrochées : exercer des stratégies propres aux tâches scolaires

Avant la première tâche, il est important de permettre à l’élève de mettre le vocabulaire en mémoire. On explique, avant, le vocabulaire qui peut poser problème

Þ    Un temps explicitement consacré au travail du vocabulaire avant la lecture/le récit de l’histoire

Þ    Travail à partir d’images permettant de travailler les mots et expressions difficiles du texte

Conseil 1 :  dissocier le travail du vocabulaire de la lecture de l’histoire.

Conseil 2 :  s’appuyer sur des images distinctes des illustrations de l’album. 

I Tâches de découverte : aider les élèves à comprendre = 

L’enseignant étaye fortement, guide, questionne

 1-      Phase 1 : phase préparatoire

On présentera l’objectif aux élèves et se dès la PS

Objectif : je vais lire l’histoire – une ou plusieurs fois – et après ce sera à votre tour de me la raconter.  

En donnant l’objectif, on crée un horizon d’attente et on permet à l’élève de réguler son attention. 

Si le besoin s’en fait sentir, on peut lire ou raconter l’histoire une deuxième fois. 

  2-      Phase 2 : Lecture et premiers retours : partir de la lecture du texte écrit, sans aucune illustration (à partir de l’album ou du tapuscrit) :

a)      Lecture du texte en intégralité ou raconter l’histoire  

Puis on va lire l’histoire sans montrer les images et en expliquant « aujourd’hui je vais vous lire l’histoire de ZOUZOU mais sans vous montrer les images. Vous devez donc essayer de transformer tous les mots et toutes les phrases en images et de coller les images pour faire un dessin animé dans votre tête. »

Précision ici : il s’agit d’être très précis dans le vocabulaire que l’enseignant emploie afin de n’induire aucune confusion chez l’élève entre LIRE et RACONTER.

La compréhension en maternelle

Lorsque je lis : mes yeux sont posés sur le texte et la version proposée à chaque lecture est identique.

La compréhension en maternelle

Lorsque je raconte : mes yeux regardent mon auditoire et la version proposée à chaque narration n’est jamais totalement identique à la précédente. On peut rendre ce moment plus vivant en théâtralisant pour garder l’attention des enfants.

Les premiers temps, opter pour cette solution permet de montrer aux élèves comment réaliser un véritable travail d’expansion du texte (étoffer, détailler et disséquer le récit) avant de les inviter à en faire de même sur d’autres histoires.

a)      Poser une question ouverte 

De quoi parle l’histoire ? Qu’avez-vous vu dans votre film ? De quoi vous souvenez-vous ?

Après avoir posé des questions pour aider les élèves à entrer dans la compréhension fine, on leur demande de rappeler l’épisode avec ses propres mots.

b)      Relecture progressive reprendre la lecture du texte écrit, sans aucune illustration, mais par fragment La relecture progressive étayée par les questions de guidage facilitera la compréhension fine du texte et non simplement sa vérification d’aspects factuels qui se cantonnent à savoir qui sont les personnages, ce qu’ils font et ce qu’ils disent.

Lorsque le texte dit beaucoup en peu de mots, lorsque tout n’est pas dit dans le texte. Il convient donc de s’intéresser à ce qui se passe dans la tête des personnages, ce qui est très souvent un élément essentiel dans la narration et qui doit être l’interrogation « pivot » de l’enseignement de la compréhension. Cette habitude est essentielle pour que les élèves activent ces questions – prototypiques et ritualisées – sans que le maître les leur pose !

Voici les questions que propose Sylvie Cèbe

1)      Quels personnages sont impliqués ?

2)      Ce qui leur arrive et ce qu’ils font ? (les faits : actions et événements)

3)      Quelles sont les pensées des personnages ? : Il est important de favoriser la centration de l’attention des élèves sur le fait que les personnages ont une épaisseur psychologique qu’il est nécessaire de décrypter : ceux-ci éprouvent des sentiments et des émotions, ils ont des intentions, des mobiles d’agir, ont des réactions affectives, des connaissances particulières

Quels sont leurs buts (leurs intentions) et leurs raisons (leurs mobiles) ?

Quels sont leurs sentiments et leurs émotions ?

Quels sont leurs connaissances et leurs raisonnements ?

On fera en sorte que l’enfant s’identifie à tous les personnages et pas à un seul.

On a alors un rappel en cascade : Reformuler, paraphraser

II. Tâches de transposition : approfondir et exercer la compréhension

Scénario  : rappel de récit avec support et avec aide de la maîtresse et du groupe 

L’enseignant se met en retrait, intervient moins, rend l’élève autonome grâce à des outils de transition (marottes, personnages, CD, masques pour « jouer » l’histoire, etc.)

 Objectif : Mémoriser, rappeler 

 Raconter à plusieurs avec l’aide de la maîtresse

Rappel du récit : raconter collectivement puis individuellement

·       Ecoute dans le coin bibliothèque avec le livre support

·       Théâtralisation : jouer les dialogues (discours indirect / discours direct)

·       À l’aide d’une maquette et de figurines.

L’enseignant.e reprend le récit en demandant aux élèves de venir chercher, dans une boîte, les choses dont on a besoin pour raconter l’histoire (un petit lapin blanc, de la peinture verte, des pinceaux, une feuille,

une grande lapine, un renard, …).

Þ   Þ Prendre soin de placer des choses inutiles (un petit lapin marron, une poule, des feutres, un stylo plume, un loup…).

Þ   Þ Demander systématiquement aux élèves de justifier leur choix (« Pourquoi ne prends-tu pas le petit lapin marron ? »).     Les élèves racontent à leur tour en prenant appui sur les figurines et accessoires sélectionnés.

Reprendre le récit et demander aux élèves de le mettre en scène (de déplacer les personnages). Mettre en mots des émotions et des intentions.

Þ   Þ Utiliser le même matériel (plan, personnages et objets) pour imaginer et expliciter ce que pensent les différents personnages aux différents moments du récit

  • Puis les enfants prennent en charge le récit et la gestion des marottes.

  III. Tâches de transfert : réinvestir les habiletés exercées (et évaluer la compréhension)

Objectif :  Résumer, relier

Objectif:  Il s’agit ici d’insérer des situations de résolution de problèmes de compréhension pour réactiver l’attention sur quelque chose que les élèves maitrisent, pour réinvestir les habiletés exercées et évaluer la compréhension.

 Þ   Inventer une suite ou un dialogue qui ferait suite au dénouement,

  Þ Choisir une phrase «titre » ou « résumé » parmi plusieurs proposée

  Þ  Détecter une erreur dans une relecture effectuée par la maîtresse

 Þ   Interpréter les erreurs d’autres enfants

 Þ     Faire verbaliser les émotions ou les intentions des personnages.

Est-ce que Zouzou est vraiment malade ? Pourquoi maman a menti ? Qu’est ce qu’elle pense dans sa tête ? 

Pourquoi Zouzou se roule-t-il dans l’herbe?  

Þ   Pour se laver parce que l’herbe est pleine d’eau » /    « Pour s’amuser parce qu’il a oublié qu’il devait se laver » / « Pour se salir un peu plus avant d’aller se laver »

IV. Tâches décrochées : exercer des stratégies propres aux tâches scolaires

Þ   Objectif: Résumer, relier

Scénario : apprendre à mettre des images en ordre 

Þ   Faire observer et décrire très précisément les cinq images qui représentent les différentes scènes (montrées dans le désordre)

Þ   Montrer une image intrus et demander aux élèves de dire pourquoi cette image ne convient pas.

Þ   Placer ensuite toutes les images dans une boîte et demander aux élèves de décrire celle qui sera placé au début (celle qui illustre le début de l’histoire). Inciter à justifier leur choix en ayant recours au texte.

Þ   Demander à un élève de venir chercher la bonne image, de justifier son choix et d’expliquer pourquoi les autres ne conviennent pas.

Procéder de la même manière jusqu’à la fin de l’histoire.

Þ   Demande aux élèves de venir, à tour de rôle, raconter l’histoire en s’aidant des images

sarcastic  Vous souhaitez aller plus loin, je vous partage le lien vers le site de l’IFE . Vous aurez toutes les explications nécessaires à la connaissance “Narramus” mais également une description des effets bénéfiques de cet outil sur les élèves en difficulté. 

La compréhension en maternelle Je vous partage une proposition de format de séquence. 

Télécharger « TRAME SEQUENCE cycle 1.pdf »